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L’apport de phosphore localisé, le plus souvent combiné avec de l’azote, apporte des gains moyens de rendement de l’ordre de 3 q/ha en maïs grain et de 0.8 à 1 t de matière sèche/ha en maïs ensilage. Les effets bénéfiques portent également sur une diminution de l’humidité à la récolte, une meilleure résistance au parasitisme tellurique et une plus grande précocité à floraison mâle et femelle qui s’explique probablement par un enracinement plus dense. La localisation « starter » a montré son intérêt dans les sols froids au printemps ou quand les conditions climatiques ne sont pas propices à un démarrage rapide de la végétation. Ainsi, même en situation de sols classés « riches », des réponses à la localisation sont souvent observées.