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Qui sommes-nous ?
Agriculture durable
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Produire de façon plus vertueuse ne date pas d'aujourd'hui chez Yara. Entre 2005 et 2019, Yara a diminué de 20 millions de tonnes ces émissions de CO2. Cette dynamique s’intègre dans la stratégie de Yara sur le climat. D’ici 2030, Yara ambitionne de réduire de 30 % l’ensemble de ses émissions directes et indirectes et de 10% l’émission de CO2 par tonne d’azote produit à l'horizon 2050. A cette échéance, Yara souhaite atteindre la neutralité carbone grâce aux évolutions technologiques et à la compensation des émissions restantes.
Yara a fait le choix de la France, pays agricole majeur, avec 2 sites de production, un projet de transformation en plate-forme logistique en cours et un siège social. Les engrais azotés produits sur ces sites sont principalement destinés au marché français. Le marché français est par ailleurs approvisionné par d’autres usines européennes qui oeuvrent sans cesse en faveur de la décarbonation : Ambès et Sluiskil
Yara produit et commercialise 3 types d'engrais :
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Deux logos permettent d'identifier nos produits bas carbone :
Tout nos engrais azotés sont éligibles au bas carbone : les produits des gammes YaraBela®, YaraVita™, YaraTera®, YaraRega™
Pour oeuvrer en faveur de la décarbonation, les engrais bas carbone ne sont pas les seuls leviers. Le pilotage de la fertilisation avec la pince Ntester et la modulation de dose avec Atfarm participent également à optimiser les apports d'azote et à réduire les émissions carbone associées. Privilégier l'ammonitrate comme forme d'engrais la moins émissive contribue à un meilleur bilan carbone. Enfin, l'utilisation de biostimulants pour augmenter la performance des cultures, grâce à une meilleure assimilation des nutriments, participe à répondre à l'enjeu de décarbonation.
Les empreintes d'un produit englobent l'empreinte carbone sortie d'usine et l'empreinte carbone au champ.
A la sortie d'usine, il faut prendre en compte les émissions provenant des matières premières utilisées dans les produits (dont le transport), l'énergie utilisée dans l’usine et les missions liées à la production d’ammoniac et celles liées à la production d’acide nitrique ainsi qu'à l'hydrolyse de l'urée.
Au champ, il faut prendre en compte les émissions de N2O directes liées à la dénitrification et indirectes liées au lessivage des nitrates et à la volatilisation ammoniacale.