Préserver l'avenir de notre planète

« Autrefois, les agriculteurs devaient produire davantage pour éradiquer la famine. De nos jours, nous devons produire mieux pour satisfaire nos consommateurs et protéger la planète. »

Maxime Delorme.jpg

Maxime Delorme (21 ans) est résolument tourné vers l’avenir, espère, lorsqu’il reprendra l’exploitation agricole, atteindre un équilibre entre rentabilité et durabilité. Un jour, il incarnera la 7e génération d’agriculteur à travailler au Domaine, dans la Beauce.

La famille possède 200 hectares de cultures de plein champ telles que le blé, le blé dur et l’orge de printemps, ainsi que des cultures industrielles comme la betterave sucrière, les graines d’épinard et les pommes de terre. Pour se préparer à l’avenir, Maxime est inscrit en licence Agronomie et gestion à l’école d’agricultures d’Angers. L’agriculture durable fait partie de ses priorités. « Ce qui m’inquiète énormément pour la reprise de l’exploitation, c’est le changement climatique, car il provoque des phénomènes météorologiques néfastes et des conditions plus extrêmes, indique-t-il. Les ressources en eau représentent un énorme défi dans notre région, où nous n’avons en moyenne que 55 cm de précipitations par an. Mon vœu le plus cher pour l’exploitation, c’est d’avoir les fonds nécessaires pour améliorer le système d’irrigation, car je pense que la gestion de l’eau sera un défi majeur dans les années à venir. » Si Maxime est préoccupé par l’avenir, il observe toutefois une évolution positive : « En tant qu’agriculteurs, nous ne sommes pas seuls. Différents secteurs liés à l’agriculture nous soutiennent, que ce soit à travers des technologies numériques, de nouvelles machines, le développement de nouvelles variétés, et bien d’autres innovations. D’importants progrès ont été réalisés dans différents domaines agricoles. » « Les méthodes progressent et les données récentes montrent que la qualité des eaux souterraines s’améliore aussi. L’utilisation d’engrais de meilleure qualité permet également de faire baisser les émissions. »

Yara® fournit à la famille Delorme des engrais de haute qualité et des outils numériques. Agronome chez Yara, Éric Soulier accompagne les Delorme et d’autres agriculteurs français dans la gestion des coûts liés à l’agriculture durable. « Aujourd’hui, la France a la chance d’avoir l’une des agricultures les plus durables au monde, affirme l’agronome Éric Soulier. Cependant, le changement climatique et les nouvelles réglementations environnementales définissent une nouvelle réalité. Les agriculteurs doivent s’adapter aux nouvelles méthodes de production et garantir leur rentabilité tout en protégeant la planète. Nous les accompagnons dans cette optique. »

Les solutions numériques comme N-Sensor et AtFarm de Yara aident les agriculteurs à épandre des quantités précises d’engrais pour réduire les pertes dans l’air et le sol. De plus, les engrais YaraBela®et YaraMila® génèrent moins d’émissions de CO2 que les produits à base d’urée, même avec des inhibiteurs, ce qui facilite le respect des réglementations environnementales pour les agriculteurs. Éric Soulier, agronome chez Yara, explique pourquoi les émissions des produits YaraBela et YaraMila sont plus faibles : « Les solutions YaraBela et YaraMila sont moins nocives pour l’environnement que les engrais contenant de grandes quantités d’ammoniac. Ces derniers sont volatiles et contribuent à la pollution de l’air. La volatilisation de l’ammoniac est 300 fois plus nocive que les émissions de carbone. » « Lorsque les agriculteurs utilisent YaraMila et YaraBela avec des outils numériques comme le N-sensor et l’application AtFarm, ils peuvent épandre une quantité adéquate de nutriments adaptés pour augmenter le rendement des cultures par kilogramme d’engrais épandu, ce qui réduit l’empreinte environnementale de l’exploitation », explique-t-il.

« Le rendement et la qualité des cultures sont également plus élevés grâce à ces engrais. Les cultures absorbent l’azote plus facilement et plus rapidement qu’avec des engrais à base d’ammoniac ou d’urée. » « Grâce à Yara, ma famille et moi maîtrisons mieux l’utilisation des engrais », affirme Maxime. Il est persuadé que la réduction de l’impact environnemental de l’exploitation sera bénéfique pour la planète comme pour son chiffre d’affaires. « Les consommateurs attendent de plus en plus des aliments produits dans une logique durable. Nous devons aller au-delà des exigences des organismes de certification. Mon plus grand rêve est d’assurer la pérennité de l’exploitation, tout en produisant des aliments de manière durable. Nous sommes extrêmement fiers de pouvoir nourrir la population au quotidien, et j’espère que nous continuerons à le faire pour de nombreuses générations à venir », conclut-il.