Une agriculture durable

Yara a pour ambition de devenir leader mondial dans le domaine de l'agriculture durable et insiste sur la nécessité ne pas dissocier les principaux enjeux de ce grand défi: de la nécessité d'améliorer la productivité agricole, tant pour parvenir à la sécurité alimentaire que pour réduire le réchauffement climatique.

Seule véritable entreprise multinationale du secteur, Yara s'appuie sur une expertise agronomique et industrielle de plus d'une centaine d'années pour accompagner l'agriculture mondiale vers un avenir toujours plus durable.

Les piliers de la durabilité

Yara adhère aux trois piliers de l’agriculture durable :

Le pilier économique

L’agriculture doit permettre aux exploitants de gagner décemment leur vie, stimulant ainsi la production tout en encourageant la protection de l’environnement;

Le pilier environnemental

L’agriculture doit préserver les ressources non renouvelables, remplacer dans le sol les ressources exploitées, protéger et mettre en valeur l’environnement et les ressources naturelles ;

Le pilier sociétal

L’agriculture doit contribuer à la croissance économique et sociale, ainsi qu’au développement de communautés locales.

L'agriculture: un secteur essentiel

Premier employeur mondial, le secteur agricole est absolument vital à la sécurité alimentaire. Mais il constitue aussi, la principale cause d’occupation des sols, il peut contribuer à fragiliser les écosystèmes naturels et est responsable de près d’un quart des émissions de gaz à effet de serre.

Le secteur agroalimentaire constitue un domaine majeur de l’économie mondiale. Particulièrement dans les pays en développement où les investissements dans l’agriculture sont considérés comme essentiels au développement économique, à la lutte contre la pauvreté, et à une meilleure sécurité alimentaire.

Malgré une forte baisse du nombre d’agriculteurs, en particulier dans les économies développées, les rendements ont considérablement augmenté. Cette « Révolution verte » s'est appuyée sur les principes posés par le Prix Nobel Norman Borlaug , qui ont joué un rôle déterminant dans la lutte contre la famine et la malnutrition: une production de grain à fort rendement, l’irrigation, une gestion agricoles moderne et l’utilisation d’engrais et de pesticides.

Si la production alimentaire a certes progressé de façon spectaculaire, l’usage pafois excessif de ressources non-renouvelables ou de produits agrochimiques ont entrainé des conséquences néfastes sur l’environnement. Grâce aux connaissances, aux outils et aux pratiques agricoles modernes, les agriculteurs sont désormais en mesure de concilier des rendements élevés et la protection de l’environnement.

Aujourd’hui, il est communément admis qu’un secteur agricole durable constitue un élément essentiel pour une croissance verte.

Des questions étroitement liées

Le rôle principal de l’agriculture est de garantir la sécurité alimentaire en satisfaisant la demande croissante de manière durable. Le développement durable appliqué à l’agriculture implique la consommation raisonnée des ressources clés, comme la terre, les nutriments et l’eau.

La production alimentaire mondiale doit augmenter d’environ 70 % d'ici la prochaine génération, en utilisant la même superficie de terre et une quantité d’eau moins importante. Des éléments fondamentaux, comme le changement climatique, l’épuisement des ressources énergétiques la dégradation des terres agricoles viennent compliquer ce défi.

Pour rendre l’agriculture durable, et en faire une partie intégrante de la solution, plusieurs questions essentielles doivent être abordées, qui relient l’alimentation, l’eau et l’énergie au réchauffement climatique.

Une connaissance agronomique approfondie

Yara a développé une connaissance agronomique approfondie et des solutions efficaces pour améliorer la productivité agricole sans augmenter les surfaces terres agricoles. Le changement d’affectation des terres est l’une des causes du réchauffement climatique et de la perte de biodiversité.

Dans ce cadre, Yara a mis au point des concepts de nutrition des cultures , tout en réduisant l’empreinte carbone de ses engrais, et donc de l’agriculture elle-même, en appliquant le principe : du bon produit en bonne quantité, au bon moment et bon endroit.